- Pièce
Fait partie de Manuscrits Caṃ
Début : nī kadha tanrā dī pubaḥ mbă̆ să…
Fin : …kŭm̱at uvalaḥ.
Formule à réciter pour que l’épouse ne trompe pas son mari.
3700 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques
Fait partie de Manuscrits Caṃ
Début : nī kadha tanrā dī pubaḥ mbă̆ să…
Fin : …kŭm̱at uvalaḥ.
Formule à réciter pour que l’épouse ne trompe pas son mari.
Fait partie de Manuscrits Caṃ
Début : ni catvai paran arbaṉ̇ū…
Fin : …naiḥ tikuḥ ribuv.
Maximes à double sens.
Fait partie de Manuscrits cambodgiens sur papier
Fait partie de Manuscrits cambodgiens sur papier
À la ville Royale du Cambodge, le 13 juin 1775
Fait partie de Manuscrits européens de l'EFEO
"Mon très cher père et ma très chère mère,...".
Lettre de Pierre Joseph Pigneau de Behaine à ses parents.
À M. Pigneau, fermier général de M. le Duc de la Vallière, à Origny en Thiérarche (Picardie), [1765]
Fait partie de Manuscrits européens de l'EFEO
"Dieu seul, Mon très cher père et ma très chère mère,...".
Lettre de Pierre Joseph Pigneau de Behaine à ses parents à l'occasion de son départ pour sa mission.
À Mde Lefebvre-Pigneau, à Hirson. Paris, 21 juin 1787
Fait partie de Manuscrits européens de l'EFEO
Lettre de Pierre Joseph Pigneau de Behaine, de séjour à Paris, à sa soeur.
"Ma chère soeur, je viens de faire partir mercredy dernier les ornements de votre salle...".
[À Mde Lefebvre-Pigneau, à Hirson], Paris, 21 juillet 1787
Fait partie de Manuscrits européens de l'EFEO
Fragment de lettre de Pierre Joseph Pigneau de Behaine, de séjour à Paris, à sa soeur.
À Mlle Adélaïde Lefebvre. Lorient, 22 décembre 1787
Fait partie de Manuscrits européens de l'EFEO
Lettre de Pierre Joseph Pigneau de Behaine, depuis Lorient, à sa nièce, la veille de son embarquement.
"Ma très chère nièce, depuis plus de trois mois, vous ne cessez de me faire les plaintes les plus amères sur mon silence...".
À Mr et mm. e Meniolle. Cochinchine, le 2 9bre 1790
Fait partie de Manuscrits européens de l'EFEO
"Mon cher neveu et ma chère nièce,...".
Lettre de Pierre Joseph Pigneau de Behaine, depuis la Cochinchine, à sa nièce Adélaïde, après son mariage.