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Description archivistique
Archives de l'École française d’Extrême-Orient (Paris)
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Bouddha historique Śākyamuni en abhayamudrā (geste de l’absence de crainte)

Statuette figurant Maitreya debout, en déhanché sur la droite, sur un socle orné de pétales de lotus. La main droite fait le geste de l'argumentation (vitarkamudrā), la main gauche abaissée présente une fleur en bouton de ou une grenade. Le visage est serein, les paupières mi-closes. Haute jaṭa-mukuṭa diadème à 3 fleurons, lobes d’oreilles très distendus tombant sur les épaules. yajñopavῑta orfévré, brassard orné de losange, ceinture orfévrée, vêtement inférieur collant au corps et s'évasant enfin plis latéralement et entre les jambes. Style d'inspiration Pāla.

Avalokiteśvara en union avec sa śakti

Ronde-bosse en bronze, partiellement dorée et peinte, représentant le bodhisattva Avalokiteśvara, reconnaissable à la petite tête (au visage ici peint en rouge) du jῑna Amitābha qui surmonte son chignon à deux lobes peint en bleu. Doté de 4 bras, Avalokiteśvara est assis en union avec sa parèdre
(śakti), au corps entièrement peint en rouge. Le buste de celle-ci est amovible et aujourd’hui désolidarisé du corps. Les deux personnages sont nus mais parés. Avalokiteśvara porte néanmoins une écharpe et un textile autour des genoux et de la partie inférieure des jambes. La śakti, dotée de seulement deux bras, porte de la main droite le ḍāmaru, la main gauche étant désormais vide. Avalokiteśvara tient quant à lui un rosaire fin de l’une de ses main droite, la main gauche étant vide, les deux mains ceignant la śakti sont réunies en añjali. Une plaque scellée dans la partie inférieure de la statuette semble indiquer que celle-ci a été consacrée.

Déesse bouddhique Tārā dite « blanche »

Ronde-bosse en bronze figurant la déesse bouddhique Tārā, assise en vajrāsana sur un socle orné d’une double rangée de pétales de lotus en volume. La déesse est dotée de 3 yeux et porte également un œil dans chaque main et sur la plante des pieds. Elle porte un chignon surmonté du joyau et une queue de cheval que le déhanchement renvoie sur l’omoplate droite. Son visage apaisé est doré et sa chevelure peinte en bleu. La main droite touche le sol, paume apparente. La main gauche est levée, pouce et index joint comme si elle esquissait le geste de l’argumentation. De la partie supérieure du socle émerge une fleur de lotus dont la tige s’enroule autour du bras gauche de la déesse, la fleur s’épanouissant au niveau de sa tête. Elle porte un collier ainsi qu’un pectoral évoquant le monde végétal. Sa jupe est marquée de plis en léger relief sur la jambe.

Déesse bouddhique Tārā dite « verte »

Ronde-bosse en bronze représentant la déesse bouddhique Tārā assise en posture de délassement (lalitāsana) sur un socle orné d’une double rangée de pétales de lotus, le pied droit sur une fleur dont une tige émerge de la base du socle. De la main droite elle fait le geste du don (varada-mudrā) et de la main gauche celui de l’argumentation (virtaka-mudrā). Elle est coiffée d’un haut chignon laissant sa chevelure libre dans le dos. Sur la partie antérieure, le chignon est orné d’un élément végétal. Elle porte un diadème à 5 fleurons. Son visage serein semble dépourvu d’ūrṇā. La fleur de lotus caractérisant la forme de Tārā dite verte est représenté au niveau de son épaule gauche. Elle est vêtue d’une jupe aux bordures incisées. Son buste est nu à l’exception d’une écharpe nouée sous la poitrine, des bijoux, du collier orné de guirlandes et de pendeloques et du yajñopavῑta. Elle porte également des bracelets, brassards et anneaux périscélides.
Le socle de la statuette est fermé d’une lame de cuivre ornée du motif du double vajra associé au yin-yang.

Déesse bouddhique Cuṇḍā

Ronde-bosse en bronze, doré pour le visage, les mains, les pieds et les parures, figurant une divinité féminine à 4 bras assise en vajrāsana sur un socle triangulaire à la base moulurée et dont la partie supérieure est ornée de pétales de lotus aux volumes arrondis. Elle porte un diadème à 5 fleurons, est coiffée d’un haut chignon du type jaṭa-mukuṭa surmonté d’un fleuron, tandis que des mèches peintes en bleu s’échappent en volute sur les épaules. Les deux mains supérieures ont perdu leur attribut, une des main posée dans le giron tient le vase qui permet d’identifier cette déesse à Cuṇḍā. La main droite, élevée au niveau de la poitrine, comporte une perforation au niveau de la paume indiquant qu’elle tenait autrefois un attribut. La divinité au visage serein porte des pendants d’oreille circulaires avec pendeloques, un collier, des brassards, des bracelets et une écharpe.
Le socle est fermé par une plaque de cuivre orné du motif du double vajra associé au yin-yang.

Ḍākinῑ (démone)

Ronde-bosse en bronze figurant une démone ou ḍākinῑ, fixée par des tenons au niveau des pieds à deux petites personnages à 4 bras allongés sur le socle que la divinité semble piétiner. Dotée de 2 bras, la ḍākinῑ tient dans la main droite un couteau hachoir rituel gri-gug, tandis que la main gauche - qui, selon Claude Pascalis, tenait initialement un kapāla (coupe crânienne) - est désormais vide. La ḍākinῑ était donc figurée buvant le sang du kapāla, ce que souligne son expression grimaçante. Sa chevelure rouge est laissée libre dans le dos, elle porte un diadème de têtes de mort et un demi vajra au-dessus de la tête. Elle est richement parée (certains de ses bijoux comportent encore des incrustations de turquoise) et porte également une guirlande de têtes de mort.
Le socle est fermé par une plaque de cuivre ornée du motif du double vajra associé au yin-yang.

Dharmapāla Vajrapāṇi

Statuette en ronde-bosse figurant Vajrapāṇi, marchant vers la droite, sur un socle de lotus. De la main droite il tient le vajra caractéristique, de sa main gauche le lasso. Le visage courroucé, aux sourcils, à la moustache et à la barbe fournie, présente trois yeux. La bouche ouverte laisse paraître les crocs. Chevelure hérissée traitée à la manière de flammes, diadème à 5 fleurons. Le corps, assez gras, est paré de nombreuses parures retombant sous le ventre. Une peau de bête est nouée autour de la taille. L'écharpe, s'envolant derrière les épaules, longe le corps pour se redresser en ondulations au niveau du pied. Il piétine des serpents, figurés sur le socle, auquel il est fixé par des tenons au niveau des pieds.

Jambhala juché sur son dragon

Ronde-bosse en bronze partiellement doré et peinte figurant le yi-dam (Jambhala) assis sur un dragon. Jambhala est doté de deux bras ne tenant pas d’attributs. Son visage courroucé est doté de 3 yeux et sa bouche ouverte laisse apercevoir des crocs. Ses sourcils, sa moustache et sa barbe traités en boucles sont, comme sa chevelure hirsute évoquant les flammes, peints en vermillon. Très corpulent, il est richement paré et porte une jupe ornée d’incisions nouée sous le ventre proéminent. Le dragon dont les écailles sont traitées par incision, marche vers la droite propre du yi-dam et lève la tête vers celui-ci. Une cavité dans le ventre du dragon laisse apercevoir un morceau d’étoffe d’où s’échappe de la terre.
La figure repose sur un socle quadrangulaire orné sur la face avant et les faces latérales de pétales de lotus. Le socle est fermé d’une plaque de cuivre ornée du motif incisé du double vajra associé au yin-yang.

Mahākala

Ronde-bosse en bronze doré figurant le dieu corpulent et farouche, la chevelure rouge hérissée ceinte d'un diadème de têtes de mort, trois yeux, la bouche ouverte laissant apparaître les crocs. De face mais en position de fente sur la droite, il piétine un cadavre aux longs cheveux, figuré en haut relief sur le socle auquel la statuette est fixée par des tenons au niveau des pieds. Mahākala porte une longue tunique, un manteau, des chaussons, une écharpe et une ceinture de têtes coupées. Dans la main gauche il tient un kapāla tandis que de la main gauche il tient un bâton surmonté d'un fleuron (amovible).

Squelettes dansants (Citipati)

Ensemble en bronze peint comportant deux figures squelettiques, les Citipati, peints en blanc, les os dessinés en rouge, vêtus d'un pagne doré, d'une ceinture verte, et d'une écharpe virevoltante dorée. Ils dansent, en appui sur la jambe gauche fléchie, la jambe droite pliée et brandissent leur point gauche et tiennent de la main droite un kapāla. Les tenons sous les pieds fixent les statuettes au socle, au niveau du ventre des deux petits personnages allongés aux long cheveux, nus et souriants, figurés sur la partie supérieure du socle orné d'une rangée de pétales de lotus.

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