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Description archivistique
Collection d'art tibétain
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Bouddha paré sur un trône

Pièce en 7 parties figurant un personnage paré en méditation, peut-être Amitāyus. Ronde-bosse en jadéite figurant un personnage au crâne lisse sans uṣṇῑṣa, les yeux mi-clos, assis en vajrāsana, les mains en dhyāna-mudrā. Pectoral amovible en métal doré et incrusté. Diadème en métal doré comprenant des traces de polychromie. Le personnage s'insère dans un petit socle en jadéite évoquant une fleur de lotus. Celui-ci repose sur un socle ovale comportant deux perforation à l'arrière. Dans ces perforations vient s'insérer une mandorle en bronze doré incrusté de verre turquoise, orné de maṅgala ou motifs propices (fruits, svastika). Le tout repose sur un socle en bronze doré évoquant une fleur de lotus et fermé par une plaque de cuivre ornée du motif du double vajra.

Bouddha prenant la Terre à témoin

Statuette en ronde-bosse figurant le Bouddha assis en vajrāsana sur un trône de lotus, faisant le geste de la prise de la Terre à témoin (bhūmisparśamudrā). Visage carré, yeux mi-clos, plis sur le cou, lobes d'oreilles distendus mais non perforés, chevelure traitée en granulation, uṣṇῑṣa surmontée d’un bouton doré ūrṇā. Vêtement monastique laissant l'épaule découverte, bordé d'un motif de rinceaux végétaux.

Bouddha prenant la Terre à témoin

Statuette en ronde-bosse figurant le Bouddha assis en vajrāsana sur un trône de lotus, faisant le geste de la prise de la terre à témoin (bhūmisparśamudrā). Visage carré, yeux mi-clos, plis sur le cou, lobes d'oreilles distendus mais non perforés, chevelure traitée en granulation, uṣṇῑṣa surmontée d’un bouton doré ūrṇā. Vêtement monastique laissant l'épaule découverte, bordé d'un motif de rinceaux végétaux.

Bouddha prenant la Terre à témoin

Ronde-bosse en bois laqué figurant un Bouddha assis en vajrāsana sur un socle de lotus aux pétales ornés de volutes (socle malheureusement très endommagé). Il fait le geste de la prise de la terre à témoin des assauts de Māra (Bhūmisparśamudrā). Son crâne, marqué d’une uṣṇῑṣa ronde était initialement recouvert de pointes rapportées en laque évoquant la chevelure, dont de larges zones ont aujourd’hui disparu. Le visage est impassible, il porte le costume bouddhique traditionnel laissant l’épaule droite découverte.

Collection d'art tibétain

  • FR EFEO TIB
  • Collection
  • de 1900 à 1954

La collection est composée de statuettes en bronze (et une en bois laqué) illustrant les diverses entités du panthéon bouddhique tibétain avec différentes catégories de divinités (Bouddha historique, bouddhas transcendantaux, dharma-pāla, dakinῑ, entre autres) ainsi que les fondateurs de la secte des Ge-lug-pa.
La collection comporte en outre différents objets cultuels (conque, coupe libatoire, emblèmes, aiguière, vajra, cloches, etc.…) en différents matériaux, illustrant le rituel propre au bouddhisme tibétain. Elle contient également sept thang-ka (malheureusement très endommagées).
Dans son rapport de 2006, Caroline Riberaigua donne une première estimation des pièces comme datant vraisemblablement du XIXe siècle ou, pour les plus anciennes, de la deuxième moitié du XVIIIe siècle (règne de Qianlong, r. 1735-1796). Bien que les pièces soient supposées provenir du même lieu, elle remarque que plusieurs groupes stylistiques peuvent être distingués parmi les sculptures.

Pelliot, Paul (1878-1945)

Conque

Conque marine sertie d'une armature d'argent ornée des motifs de pétales de lotus, de rinceaux fleuris et de perlages. Tube fermé par un bouchon d’argent en forme de fleur de lotus.

Coupe libatoire

Coupe libatoire constitué d’une calotte crânienne couverte intérieurement de syllabes de mantra peints en rouge (lettres tibétaines), doublé d’une calotte de cuivre moulée dissimulant les caractères.
Le couvercle est en bronze doré, apparemment travaillé au repoussé, orné en son sommet d’un demi vajra, posé sur l’entrecroisement de deux vajra couchés et semi engagés. La partie supérieure du couvercle est ornée de rinceaux végétaux tandis que sur le pourtour sont figurés deux registres, au registre supérieur les 8 emblèmes bouddhiques au milieu de rinceaux, au registre inférieur les 7 joyaux bouddhiques à l’intérieur.
Le support de la coupe, en bronze doré ajouré, comportant des traces de peinture rouge à l’intérieur, est de section triangulaire et comporte une tête de mort dorée à chacun des angles sur la partie supérieure, et des makara à chaque angle sur la partie inférieure.

Coupe libatoire

Coupe libatoire en porcelaine blanche imitant la forme des coupes crâniennes (kapāla).
Couvercle en bronze doré très travaillé orné de rinceaux fleuris entourant une combinaison décorative de caractères représentant la formule daśakaro vasi surmontée d'un croissant et d'une perle, quatre fois répétés. Le couvercle est surmonté d'un motif triangulaire.
Socle de plan triangulaire orné de 5 registres décoratifs : au centre bande ornementale incrustée de pierres entourées de pétales de lotus, le registre supérieur ajouré évoque des flammes et le registre inférieur, également ajouré, évoque plutôt le monde végétal. Aux angles, on trouve dans la partie supérieure des têtes coupées anthropomorphes, et à la base des têtes d'éléphants.

Ḍākinῑ (démone)

Ronde-bosse en bronze figurant une démone ou ḍākinῑ, fixée par des tenons au niveau des pieds à deux petites personnages à 4 bras allongés sur le socle que la divinité semble piétiner. Dotée de 2 bras, la ḍākinῑ tient dans la main droite un couteau hachoir rituel gri-gug, tandis que la main gauche - qui, selon Claude Pascalis, tenait initialement un kapāla (coupe crânienne) - est désormais vide. La ḍākinῑ était donc figurée buvant le sang du kapāla, ce que souligne son expression grimaçante. Sa chevelure rouge est laissée libre dans le dos, elle porte un diadème de têtes de mort et un demi vajra au-dessus de la tête. Elle est richement parée (certains de ses bijoux comportent encore des incrustations de turquoise) et porte également une guirlande de têtes de mort.
Le socle est fermé par une plaque de cuivre ornée du motif du double vajra associé au yin-yang.

Déesse bouddhique

Statuette en ronde-bosse figurant une divinité féminine assise en vajrāsana sur un trône de lotus. La main gauche, ramenée sur la poitrine, effectue un geste de préhension indiquant qu'elle tenait initialement un attribut, la main droite fait le geste de l'absence de crainte (abhayamudrā). Chignon formé de deux bulbes surmontés de la perle enflammée, longues mèches de cheveux ondulés tombant sur les épaules. Oeil frontal. Sous socle double vajra et yin-yang.

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