Affichage de 16363 résultats

Description archivistique
Archives de l'École française d’Extrême-Orient (Paris) Pièce
Options de recherche avancée
Aperçu avant impression Affichage :

3700 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Samantabhadra sur son éléphant

Ronde-bosse composite en bronze doré figurant Samantabhadra assis en lalitāsana sur une fleur de lotus (un pied reposant sur un lotus dont la tige émerge de la base de la fleur principale) reposant sur un éléphant harnaché, lui-même fixé pas des tenons au niveau de la patte avant gauche et de la patte arrière droite à un socle orné de pétales de lotus. Le socle en question est fermé par une plaque de cuivre ornée du double vajra.
Le bodhisattva Samantabhadra, paré d’ornements incrustés, porte un chignon bleu dont le fleuron sommital a disparu, un diadème à fleurons, des pendants d’oreille circulaires auxquels pendent des éléments foliacés, un châle semé d’étoiles noué sur la poitrine. Sa tête est légèrement penchée vers la droite.
L’harnachement de l’éléphant est incrusté. Il porte un tapis de selle orné d’une fleur de lotus.

Bodhisattva Avalokiteśvara

Ronde-bosse en bronze doré représentant le bodhisattva Avalokiteśvara reconnaissable à la peau d’antilope qu’il porte sur l’épaule gauche. Il est assis en posture de délassement royal (rājalalitāsana) sur une fleur de lotus reposant sur un socle quadrangulaire ajouré. Sa main droite est posée sur le genou, sa main droite repose à la base de la tige de la fleur s’épanouissant au niveau du visage. Il est richement paré : pendants d’oreille, collier, ceinture, brassards et bracelets ; et semble vêtu d’un dhotῑ. Son haut chignon, ceint d’un fil doré comportant un fleuron, est couronné du joyau. Il ne porte pas d’ūrṇā.

Simhanāda-Mañjughoṣa (Bodhisattva sur un lion)

Ronde-bosse en bronze doré figurant le bodhisattva Mañjuśrῑ, à deux bras, assis en lalitāsana sur un lion chinois à la crinière verte. L’ensemble repose sur un socle orné de pétales de lotus, fermé d’une plaque de cuivre ornée d’un double vajra. Les tenons permettant de fixer la statuette au socle ont disparus. Mañjuśrῑ, gracieux et d’aspect bienveillant, est coiffé d’un chignon et d’un diadème à 5 fleurons. Il fait le geste du sermon bouddhique ou mise en branle de la roue de la loi (dharmacakrapravartanamudrā). De chacune des mains partent des tiges s’interrompant au niveau du coude, à l’endroit où émergeaient autrefois des fleurs de lotus portant des attributs désormais perdus.

Bouddha historique Śākyamuni en abhayamudrā (geste de l’absence de crainte)

Statuette figurant Maitreya debout, en déhanché sur la droite, sur un socle orné de pétales de lotus. La main droite fait le geste de l'argumentation (vitarkamudrā), la main gauche abaissée présente une fleur en bouton de ou une grenade. Le visage est serein, les paupières mi-closes. Haute jaṭa-mukuṭa diadème à 3 fleurons, lobes d’oreilles très distendus tombant sur les épaules. yajñopavῑta orfévré, brassard orné de losange, ceinture orfévrée, vêtement inférieur collant au corps et s'évasant enfin plis latéralement et entre les jambes. Style d'inspiration Pāla.

Avalokiteśvara en union avec sa śakti

Ronde-bosse en bronze, partiellement dorée et peinte, représentant le bodhisattva Avalokiteśvara, reconnaissable à la petite tête (au visage ici peint en rouge) du jῑna Amitābha qui surmonte son chignon à deux lobes peint en bleu. Doté de 4 bras, Avalokiteśvara est assis en union avec sa parèdre
(śakti), au corps entièrement peint en rouge. Le buste de celle-ci est amovible et aujourd’hui désolidarisé du corps. Les deux personnages sont nus mais parés. Avalokiteśvara porte néanmoins une écharpe et un textile autour des genoux et de la partie inférieure des jambes. La śakti, dotée de seulement deux bras, porte de la main droite le ḍāmaru, la main gauche étant désormais vide. Avalokiteśvara tient quant à lui un rosaire fin de l’une de ses main droite, la main gauche étant vide, les deux mains ceignant la śakti sont réunies en añjali. Une plaque scellée dans la partie inférieure de la statuette semble indiquer que celle-ci a été consacrée.

Déesse bouddhique Tārā dite « blanche »

Ronde-bosse en bronze figurant la déesse bouddhique Tārā, assise en vajrāsana sur un socle orné d’une double rangée de pétales de lotus en volume. La déesse est dotée de 3 yeux et porte également un œil dans chaque main et sur la plante des pieds. Elle porte un chignon surmonté du joyau et une queue de cheval que le déhanchement renvoie sur l’omoplate droite. Son visage apaisé est doré et sa chevelure peinte en bleu. La main droite touche le sol, paume apparente. La main gauche est levée, pouce et index joint comme si elle esquissait le geste de l’argumentation. De la partie supérieure du socle émerge une fleur de lotus dont la tige s’enroule autour du bras gauche de la déesse, la fleur s’épanouissant au niveau de sa tête. Elle porte un collier ainsi qu’un pectoral évoquant le monde végétal. Sa jupe est marquée de plis en léger relief sur la jambe.

Déesse bouddhique Tārā dite « verte »

Ronde-bosse en bronze représentant la déesse bouddhique Tārā assise en posture de délassement (lalitāsana) sur un socle orné d’une double rangée de pétales de lotus, le pied droit sur une fleur dont une tige émerge de la base du socle. De la main droite elle fait le geste du don (varada-mudrā) et de la main gauche celui de l’argumentation (virtaka-mudrā). Elle est coiffée d’un haut chignon laissant sa chevelure libre dans le dos. Sur la partie antérieure, le chignon est orné d’un élément végétal. Elle porte un diadème à 5 fleurons. Son visage serein semble dépourvu d’ūrṇā. La fleur de lotus caractérisant la forme de Tārā dite verte est représenté au niveau de son épaule gauche. Elle est vêtue d’une jupe aux bordures incisées. Son buste est nu à l’exception d’une écharpe nouée sous la poitrine, des bijoux, du collier orné de guirlandes et de pendeloques et du yajñopavῑta. Elle porte également des bracelets, brassards et anneaux périscélides.
Le socle de la statuette est fermé d’une lame de cuivre ornée du motif du double vajra associé au yin-yang.

Déesse bouddhique Cuṇḍā

Ronde-bosse en bronze, doré pour le visage, les mains, les pieds et les parures, figurant une divinité féminine à 4 bras assise en vajrāsana sur un socle triangulaire à la base moulurée et dont la partie supérieure est ornée de pétales de lotus aux volumes arrondis. Elle porte un diadème à 5 fleurons, est coiffée d’un haut chignon du type jaṭa-mukuṭa surmonté d’un fleuron, tandis que des mèches peintes en bleu s’échappent en volute sur les épaules. Les deux mains supérieures ont perdu leur attribut, une des main posée dans le giron tient le vase qui permet d’identifier cette déesse à Cuṇḍā. La main droite, élevée au niveau de la poitrine, comporte une perforation au niveau de la paume indiquant qu’elle tenait autrefois un attribut. La divinité au visage serein porte des pendants d’oreille circulaires avec pendeloques, un collier, des brassards, des bracelets et une écharpe.
Le socle est fermé par une plaque de cuivre orné du motif du double vajra associé au yin-yang.

Ḍākinῑ (démone)

Ronde-bosse en bronze figurant une démone ou ḍākinῑ, fixée par des tenons au niveau des pieds à deux petites personnages à 4 bras allongés sur le socle que la divinité semble piétiner. Dotée de 2 bras, la ḍākinῑ tient dans la main droite un couteau hachoir rituel gri-gug, tandis que la main gauche - qui, selon Claude Pascalis, tenait initialement un kapāla (coupe crânienne) - est désormais vide. La ḍākinῑ était donc figurée buvant le sang du kapāla, ce que souligne son expression grimaçante. Sa chevelure rouge est laissée libre dans le dos, elle porte un diadème de têtes de mort et un demi vajra au-dessus de la tête. Elle est richement parée (certains de ses bijoux comportent encore des incrustations de turquoise) et porte également une guirlande de têtes de mort.
Le socle est fermé par une plaque de cuivre ornée du motif du double vajra associé au yin-yang.

Dharmapāla Vajrapāṇi

Statuette en ronde-bosse figurant Vajrapāṇi, marchant vers la droite, sur un socle de lotus. De la main droite il tient le vajra caractéristique, de sa main gauche le lasso. Le visage courroucé, aux sourcils, à la moustache et à la barbe fournie, présente trois yeux. La bouche ouverte laisse paraître les crocs. Chevelure hérissée traitée à la manière de flammes, diadème à 5 fleurons. Le corps, assez gras, est paré de nombreuses parures retombant sous le ventre. Une peau de bête est nouée autour de la taille. L'écharpe, s'envolant derrière les épaules, longe le corps pour se redresser en ondulations au niveau du pied. Il piétine des serpents, figurés sur le socle, auquel il est fixé par des tenons au niveau des pieds.

Résultats 61 à 70 sur 16363