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Description archivistique
Archives de l'École française d’Extrême-Orient (Paris) Collection d'art tibétain Pièce
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Bouddha prenant la Terre à témoin

Ronde-bosse en bois laqué figurant un Bouddha assis en vajrāsana sur un socle de lotus aux pétales ornés de volutes (socle malheureusement très endommagé). Il fait le geste de la prise de la terre à témoin des assauts de Māra (Bhūmisparśamudrā). Son crâne, marqué d’une uṣṇῑṣa ronde était initialement recouvert de pointes rapportées en laque évoquant la chevelure, dont de larges zones ont aujourd’hui disparu. Le visage est impassible, il porte le costume bouddhique traditionnel laissant l’épaule droite découverte.

Conque

Conque marine sertie d'une armature d'argent ornée des motifs de pétales de lotus, de rinceaux fleuris et de perlages. Tube fermé par un bouchon d’argent en forme de fleur de lotus.

Coupe libatoire

Coupe libatoire constitué d’une calotte crânienne couverte intérieurement de syllabes de mantra peints en rouge (lettres tibétaines), doublé d’une calotte de cuivre moulée dissimulant les caractères.
Le couvercle est en bronze doré, apparemment travaillé au repoussé, orné en son sommet d’un demi vajra, posé sur l’entrecroisement de deux vajra couchés et semi engagés. La partie supérieure du couvercle est ornée de rinceaux végétaux tandis que sur le pourtour sont figurés deux registres, au registre supérieur les 8 emblèmes bouddhiques au milieu de rinceaux, au registre inférieur les 7 joyaux bouddhiques à l’intérieur.
Le support de la coupe, en bronze doré ajouré, comportant des traces de peinture rouge à l’intérieur, est de section triangulaire et comporte une tête de mort dorée à chacun des angles sur la partie supérieure, et des makara à chaque angle sur la partie inférieure.

Coupe libatoire

Coupe libatoire en porcelaine blanche imitant la forme des coupes crâniennes (kapāla).
Couvercle en bronze doré très travaillé orné de rinceaux fleuris entourant une combinaison décorative de caractères représentant la formule daśakaro vasi surmontée d'un croissant et d'une perle, quatre fois répétés. Le couvercle est surmonté d'un motif triangulaire.
Socle de plan triangulaire orné de 5 registres décoratifs : au centre bande ornementale incrustée de pierres entourées de pétales de lotus, le registre supérieur ajouré évoque des flammes et le registre inférieur, également ajouré, évoque plutôt le monde végétal. Aux angles, on trouve dans la partie supérieure des têtes coupées anthropomorphes, et à la base des têtes d'éléphants.

Ḍākinῑ (démone)

Ronde-bosse en bronze figurant une démone ou ḍākinῑ, fixée par des tenons au niveau des pieds à deux petites personnages à 4 bras allongés sur le socle que la divinité semble piétiner. Dotée de 2 bras, la ḍākinῑ tient dans la main droite un couteau hachoir rituel gri-gug, tandis que la main gauche - qui, selon Claude Pascalis, tenait initialement un kapāla (coupe crânienne) - est désormais vide. La ḍākinῑ était donc figurée buvant le sang du kapāla, ce que souligne son expression grimaçante. Sa chevelure rouge est laissée libre dans le dos, elle porte un diadème de têtes de mort et un demi vajra au-dessus de la tête. Elle est richement parée (certains de ses bijoux comportent encore des incrustations de turquoise) et porte également une guirlande de têtes de mort.
Le socle est fermé par une plaque de cuivre ornée du motif du double vajra associé au yin-yang.

Déesse bouddhique

Statuette en ronde-bosse figurant une divinité féminine assise en vajrāsana sur un trône de lotus. La main gauche, ramenée sur la poitrine, effectue un geste de préhension indiquant qu'elle tenait initialement un attribut, la main droite fait le geste de l'absence de crainte (abhayamudrā). Chignon formé de deux bulbes surmontés de la perle enflammée, longues mèches de cheveux ondulés tombant sur les épaules. Oeil frontal. Sous socle double vajra et yin-yang.

Déesse bouddhique Cuṇḍā

Ronde-bosse en bronze, doré pour le visage, les mains, les pieds et les parures, figurant une divinité féminine à 4 bras assise en vajrāsana sur un socle triangulaire à la base moulurée et dont la partie supérieure est ornée de pétales de lotus aux volumes arrondis. Elle porte un diadème à 5 fleurons, est coiffée d’un haut chignon du type jaṭa-mukuṭa surmonté d’un fleuron, tandis que des mèches peintes en bleu s’échappent en volute sur les épaules. Les deux mains supérieures ont perdu leur attribut, une des main posée dans le giron tient le vase qui permet d’identifier cette déesse à Cuṇḍā. La main droite, élevée au niveau de la poitrine, comporte une perforation au niveau de la paume indiquant qu’elle tenait autrefois un attribut. La divinité au visage serein porte des pendants d’oreille circulaires avec pendeloques, un collier, des brassards, des bracelets et une écharpe.
Le socle est fermé par une plaque de cuivre orné du motif du double vajra associé au yin-yang.

Déesse bouddhique Tārā dite « blanche »

Ronde-bosse en bronze figurant la déesse bouddhique Tārā, assise en vajrāsana sur un socle orné d’une double rangée de pétales de lotus en volume. La déesse est dotée de 3 yeux et porte également un œil dans chaque main et sur la plante des pieds. Elle porte un chignon surmonté du joyau et une queue de cheval que le déhanchement renvoie sur l’omoplate droite. Son visage apaisé est doré et sa chevelure peinte en bleu. La main droite touche le sol, paume apparente. La main gauche est levée, pouce et index joint comme si elle esquissait le geste de l’argumentation. De la partie supérieure du socle émerge une fleur de lotus dont la tige s’enroule autour du bras gauche de la déesse, la fleur s’épanouissant au niveau de sa tête. Elle porte un collier ainsi qu’un pectoral évoquant le monde végétal. Sa jupe est marquée de plis en léger relief sur la jambe.

Déesse bouddhique Tārā dite « blanche »

Statuette en ronde-bosse figurant un personnage assis en vajrāsana sur un trône de lotus à double rangée de pétales. La main droite est en varadamudrā (geste du don), la main gauche fait le geste de l'argumentation (virtakamudrā). Figure entourée de deux larges fleurs de lotus. Sous le socle double vajra et yin-yang. Œil frontal, œil dans la paume des mains et sur la plante des pieds.

Déesse bouddhique Tārā dite « blanche »

Statuette en ronde-bosse figurant la déesse bouddhique Tārā, assise en vajrāsana sur un trône de lotus à double rangée de pétales. La main droite en varada-mudrā (geste du don) et la main gauche dans le geste de l'argumentation (vitarka-mudrā) tiennent les tiges de deux larges fleurs de lotus. Œil frontal, œil dans la paume des mains et sur la plante des pieds. Son haut chignon est surmonté d'un joyau et orné de perles. Elle porte un vêtement drapé laissant apparaître le sein droit sur lequel passe le yajñopavῑta doré. Le socle est fermé dans sa partie inférieure par une plaque de cuivre ornée du motif du double vajra associé à un yin-yang inscrit dans un médaillon orné de feuilles.

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