Statuette en ronde--bosse figurant Vajrapāṇi marchant vers la droite sur un socle orné d'une double rangée de lotus très stylisée, tandis que sous chacun de ses pieds et figuré un personnage anthropomorphe tenant des attributs. Il brandit de la main droite le vajra et de la main gauche il tient la cloche. Le visage extrêmement courroucé est doté de trois yeux, la bouche grimaçante laisse apparaître des crocs. Diadème à fleurons, haut chignon surmonté du joyau. Dhotῑ fait d'une peau de tigre.
Ronde-bosse en bronze figurant Vajrapāṇi, les jambes dans la posture de fente (alῑdha), fixé par des tenons sous la plante des pieds à un socle ovale orné d’une rangée de pétales de lotus. Le corps et la chevelure ceints de serpents, il porte une guirlande de têtes coupées grossièrement évoquées ainsi qu’une peau animale nouée sous le ventre rond. Il brandit de la main droite le vajra, la main gauche tenant la clochette. Son visage, farouche, est assez curieux : l’œil frontal est complètement rond et le nez épaté. Curieusement la plaque sous le socle comporte des perforations à l’endroit où, sur la partie supérieure du socle, viennent s’insérer les tenons de la statuette.
Statuette figurant un bodhisattva assis en vajrāsana sur un socle de lotus, les mains croisées sur la poitrine, la droite tenant le vajra, la gauche la clochette. Tête légèrement disproportionnée. Diadème à 5 fleurons incrusté d'éléments couleur turquoise. Bouche légèrement souriante, yeux très étirés sur les tempes. Il porte des pendants d’oreille circulaires, un collier, un pectoral croisé au milieu de la poitrine et du dos, des bracelets et des anneaux périscélides incrustés de pierres bleues. Le socle est fermé d'une plaque de cuivre ornée du motif du double vajra dessiné à l'aide de poinçons.
Statuette figurant la divinité assise en vajrāsana sur un socle de lotus, les mains en dharmacakramudrā. Vêtu d'une jupe retenue à la taille par une ceinture à cabochon. Diadème à 5 lobes, ūrṇā, signe à la plante des pieds.
Rapport du Révérend Père Mironneau sur la religion animiste des tay rouge et des tay neua de la province de Thanh-Hoa et de Houa-Phan en Indochine. Organisé en deux parties. La deuxième partie concerne la province de Hua-Phan et propose un « aperçu historique » des luttes entre les tay rouges et les tay neua de 1879 à 1934.
Rapport sur l’ordonnance de l’empereur Tu Duc sur le contreseing dans les actes d’aliénation immobilière (1861) (6 feuillets). . Note en caractère chinois (2 feuillets). . Ordonnance de l’empereur manuscrite (23 feuillets). . Vocabulaire relatif au règlement civil annamite (2 feuillets). . Note relative à l’ordonnance royale (1 feuillet).
Article tiré-à-part, dont l’auteur est probablement Gustave Dumoutier. Description d’une fête rituelle annamite qui se déroule dans le village de Phu-Dong. Cette fête commémore la défaite d’une armée chinoise qui avait envahi les terres annamites. Un fait historique devenu légende et qui selon l’article remonte à 400 ans avant notre ère.