Ce texte canonique concerne la douzième scène du .

Douzième section du Vessantara-jātaka (Khuddaka-nikāya) : Jali conduit finalement l'armée chez ses parents, et les six membres de la famille sont réunis. Au comble de leur joie, ils s'évanouissent. La pluie rouge tombe du ciel pour faire revivre la famille. Cette pluie mouille ceux qui veulent être trempés, mais ne trempe pas ceux qui veulent rester au sec.

Correspond au Mahāmūlanibbāna-sutta, texte local rédigé au Lanna au début du XVIe siècle et diffusé largement au Laos et au Cambodge.

Abrégé des sept livres de l'Abhidhammapiṭaka.

Texte local donné par la famille de Monsieur Ap̣hiwạn.

Le texte se rapporte à l'enseignement bouddhique, à la description de l'enfer et la souffrance des petas (fantômes).

Texte local copié par le moine Singkham (สิงหฅำ), pour Phịṯhūry’ Phromwicitr.

Il s'agit de la première scène du Vessantara Jātaka, dernière des vies antérieures du Buddha consignée dans le corpus des Jātakas (Khuddakanikāya). L'histoire commence par la renaissance de la mère du roi Vessantara en tant qu'humaine, afin qu'elle puisse donner naissance à unBodhisatta.

Correspond au 'phūk' 2.

Le Girimānanda-sutta est un extrait de l'Aṅguttara-nikāya (Suttapiṭaka). Il traite des dix perceptions qui apportent la guérison.

Copié par le moine Singkham (สิงหฅำ).

Extrait du Suttantapiṭaka.

Il s'agit du commentaire du Pātimokkha attribué à Buddhaghosa (Ve siècle).

Texte traduit, copié par le moine Singkham (สิงหฅำ), pour Phịṯhūry’ Phromwicitr.

Il s'agit de la première scène du Vessantara Jātaka, dernière des vies antérieures du Buddha consignée dans le corpus des Jātakas (Khuddakanikāya). L'histoire commence par la renaissance de la mère du roi Vessantara en tant qu'humaine, afin qu'elle puisse donner naissance à unBodhisatta.