Il s'agit de la douzième scène du Vessantarajātaka, dernière des vies antérieures consignée dans le corpus des Jātakas (Khuddakanikāya).

Jāli conduit finalement l'armée chez ses parents, et les six membres de la famille sont réunis.

Il s'agit de la douzième scène du Vessantarajātaka, dernière des vies antérieures consignée dans le corpus des Jātakas (Khuddakanikāya).

Jāli conduit finalement l'armée chez ses parents, et les six membres de la famille sont réunis.

Ce texte relate les aventures du prince Campāra et de sa famille. Ce Jātaka n'appartient ni au corpus canonique des Jātakas, ni à celui apocryphe du Paññāsa-jātaka. Il relate l'histoire de douze femmes, connue dans l'Asie du Sud-Est continental.

Copié par le moine S̄ingkhå (สิงหฅำ), pour Phịṯhūry’ Phromwicitr.

Il s'agit de la douzième scène du Vessantarajātaka, dernière des vies antérieures consignée dans le corpus des Jātakas (Khuddakanikāya).

Jāli conduit finalement l'armée chez ses parents, et les six membres de la famille sont réunis.

Il s'agit de la onzième section du Vessantarajātaka, dernière des vies antérieures consignée dans le corpus des Jātakas (Khuddakanikāya).

Elle traite du rachat de deux enfants de Vessantara par leur arrière-grand-père le roi Sañjaya, la mort de Jūjaka, et le retour de l'éléphant blanc des envoyés de Kaliṅga.

Il s'agit de la onzième section du Vessantarajātaka, dernière des vies antérieures consignée dans le corpus des Jātakas (Khuddakanikāya).

Elle traite du rachat de deux enfants de Vessantara par leur arrière-grand-père le roi Sañjaya, la mort de Jūjaka, et le retour de l'éléphant blanc des envoyés de Kaliṅga.

Il s'agit de la dixième section du Vessantarajātaka dite Sakkapabba.

Craignant que Vessantara n'abandonne également sa femme, Sakka intervient et, déguisé, lui demande sa femme Maddī qu'il lui donne volontiers.

Il s'agit de la huitième scène du Vessantarajātaka, dernière des vies antérieures consignée dans le corpus des Jātakas (Khuddakanikāya).

Le roi Vessantara donne facilement ses deux enfants, Kanha et Jali, à Jujaka.

Il s'agit de la huitième scène du Vessantarajātaka, dernière des vies antérieures consignée dans le corpus des Jātakas (Khuddakanikāya).

Le roi Vessantara donne facilement ses deux enfants, Kanha et Jali, à Jujaka.

Il s'agit de la septième scène du Vessantarajātaka, dernière des vies antérieures consignée dans le corpus des Jātakas (Khuddakanikāya).

Jujaka trompe le rishi, afin de savoir où se logent le roi Vessantara et sa famille.