La première page porte le titre "Description de Gia-Binh". Indication manuscrite en marge, à l'encre bleue, en haut à gauche : "Souvenir de l'amiral Bonard : 1862/63. Fragments du Gia-Dinh thông chi (œuvre du haut mandarin Trinh-Hoai-Duc, règne de Minh-Mang). Traduit par le commandant Aubaret. Etait dans les papiers de l'amiral. Cette traduction a été ensuite imprimée". Indication manuscrite, à l'encre bleue, en haut à droite : "Gia-Dinh = tranquillité parfaite. C'est la Basse-Cochin[chine]". Les titres de paragraphes et de sous-chapitres diffèrent de ceux retenus dans l'édition imprimée de 1863. Il existe par ailleurs de très légers écarts dans le texte entre ce manuscrit et l'édition imprimée de 1863.
Correspond au 'phūk' 2. Il s'agit du Pāyāsi-sutta du Dīghanikāya (Suttapiṭaka) relatant une discussion entre le Thera Kumārakassapa et le prince Pāyāsi qui ne croit pas au cycle de naissance.
Texte canonique copié par le moine Singkham (สิงหฅำ), pour Phịṯhūry’ Phromwicitr.