Correspond au Dakkhiṇāvibhaṅga-sutta du Majjhimanikāya (Suttantapiṭaka). Selon lui, lorsque sa tante Mahāpajāpatī souhaite lui offrir une robe pour son usage personnel, le Buddha l'encourage à la proposer à l'ensemble du Saṅgha. Il poursuit en expliquant que le meilleur type d'offrande au Saṅgha est celui offert à la communauté des moines et des nonnes dirigée par le Buddha.
Texte copié par P̣hikk̄hu nāwanas̄ut (ภิกขุนาวาสุต).
วันธี่ แปด มิถุนาย่น ภส 2528 (wạnṭhī̀ pӕd mit̄hunayon phuthṭhas̄ạkarāch 2528 / le 8e jour du mois de juin de l'année 2528 du calendrier bouddhiste)
Le texte correspond au 'phūk' 2. Il s'agit du Buddhasenaka-jātaka appartenant au corpus de Jātakas apocryphes, le Paññāsa-jātaka. Il relate l'histoire de douze femmes, connue dans l'Asie du Sud-Est continental.
Copié par le moine S̄ingkhå (สิงหฅำ), pour Phịṯhūry’ Phromwicitr.
Le Paṭṭhāna (ou Mahāpaṭṭhāna) est le dernier des sept livres de L'Abhidhammapiṭaka. Il éclaire selon une méthode qui lui est propre la coproduction conditionnée (paṭiccasamuppāda) des phénomènes mentaux et physiques, dans le but de montrer de manière systématique la nature et la dynamique des relations qui les unissent.
Texte copié par le moine S̄ingkhå (สิงหฅำ), pour Phịṯhūry’ Phromwicitr.