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Đại Nam nhất-thống chí. 大南一統志. Géographie du Vietnam.

Cao Xuân Dục (1842-1923), directeur, et 12 fonctionnaires du Quốc sử quán (Bureau des Annales).
17 chapitres.

Contient:
I. Liminaires:

  • Rapport au trône (1909) par Cao Xuân Dục (if. 1-5);

  • Règles suivies pour la rédaction, 30 clauses (1-8);

  • Tables générales (if. 1-2) — Collaborateurs (ff. 1-2);

  • 4 cartes (générale, Trung-kỳ, Capitale, cité interdite) et ordre de la rédaction en 23 points.

    II Texte: 17 chapitres, avec 17 cartes:

  • Kinh sư (capitale) (1),

  • Thừa-thiên phủ (2-3)

    11 provinces :

  • Quảng-nam (5),

  • Quảng-ngãi (6),

  • Quảng-trị (7),

  • Quảng-bình (8),

  • Bình-định (9),

  • Phú-yên (10),

  • Khánh-hòa (11),

  • Bình-thuận

    đạo (territoire militaire) de :

  • Ninh-thuận (12),

  • Hà-tĩnh (13),

  • Nghệ-an (14-15)

  • Thanh-hóa (16-17).

    Cette géographie ne concerne que le Trung-Kỳ (l'Annam) sous le protectorat français. Elle était couramment appelée Géographie de Duy-tân.

Cao Xuân Dục (1842–1923)

Sĩ-hoạn châm-qui. 士宦箴規. Modèles de procédures et formulaires à l'usage des administrateurs.

Précédés d'une préface générale (lab), les textes (lb-37) peuvent se grouper sous une soixantaine de titres, indiquant à un administrateur provincial les erreurs à éviter et les procédures à suivre, avec des formulaires à l'appui, dans ses fonctions civiles et judiciaires (manière d'être, de voir, enquêtes, rapports).

Quốc-triều luật-lệ toát yếu: Quyển hạ, Hình luật. 國朝律例撮要卷下刑律. Abrégé du Code des Nguyễn, Deuxième partie: Lois pénales.

Il s'agit précisément du chapitre 2 (de ce titre), Quốc triều hình luật toát yếu, quyển hạ (國朝刑律撮要卷下)(Lois pénales du Code des Nguyễn, 2e chapitre).

Comprend 68 articles des lois pénales en pratique sous la dynastie des Nguyễn.

Cao Xuân Dục (1842–1923)

Hoàng Việt luật-lệ. 皇越律例. Codes des Nguyễn.

22 chapitres. Planches gravées et conservées par l'État.

Comprend la préface de Gia-long (1812), les tables générales (chapitre préliminaire) et le texte de 398 articles répartis en 22 chapitres précédés chacun d'une table des matières respectives.

[Traductions françaises: Aubaret, Paris, 1865; Philastre, Saigon, 1875].

Nguyễn Văn Thành (1758–1817)

Arbre de l’illumination : Tsong-kha-pa présidant l’assemblée des dieux

Bannière lamaïque représentant le fondateur de l’ordre des bonnets jaunes (Dge-lugs-pa) présidant une assemblée au sommet d’un arbre de forme conique. Cet arbre, couvert de saints personnages, émerge d’un plan d’eau représentant l’océan. De part et d’autre du plan d’eau se trouve un temple duquel viennent des cavaliers et un éléphant portant un joyau (peut-être une référence aux sept joyaux) et un moine assis devant une table d’offrande, désormais quasi invisible du fait de l’érosion. A la base de la canopée se trouvent deux lions chinois. De taille supérieure aux autres personnages, Tsong-Kha-Pa préside l’assemblée répartie de manière hiérarchique sur la canopée : dharmapāla courroucés, arhat, boddhisattva, bouddhas, des lama ainsi que des entités courroucées en union avec leur śakti. Tsong-kha-pa est assis en vajrāsana, ceint d’une mandorle colorée et portant une auréole verte. D’une main il tient le vase sur lequel se tient un petit Bouddha tenant un joyau. Sur les côtés et au dessus de Tsong-kha-pa des groupes de moines lamaïque se tiennent sur des nuages de formes triangulaires, parmi les personnages du nuage sommital se tiennent aussi les mahāsiddha. Des petits groupes de 4 sont également représentés dans les disques de part et d’autre du bonnet de Tsong-kha-pa Des bouddhas flanqués de lama sont représentés aux angles supérieurs de la peinture dans de petits pavillons.

Déesse bouddhique Tārā dite « verte »

Thang-ka (peinture portative gouache sur toile), figurant la déesse Tārā, de couleur verte, assise sur une fleur de lotus émergeant d'un bassin fleuri situé dans l'enceinte d'un palais de style chinois devant lequel est figurée la déesse, entourée d'une mandorle et tenant deux fleurs de lotus. Elle est flanquée de deux personnages, un personnage bienveillant au teint clair tenant une fleur de lotus et un personnage effrayant au teint bleu, en haillons, tenant un kapāla et un couteau Gri-Gug. Tous deux sont ceints de mandorles et portent une auréole. Dans les jardins du palais sont figurés des musiciens. Dans la partie supérieure de la toile, aux angles, des saints personnages sont figurés dans les nuages, tandis que dans la partie inférieures, en dehors de l'enceinte, des sages tiennent audience dans des pavillons.
Bordures en soie.
Cartel cousu dans la partie inférieure, avec numéro d’inventaire et titre.

Arhat Mi-phyed-Pa

Tang-ka (peinture portative gouache sur toile), représentant un arhat, la tête ceinte d'une auréole « assis à l'européenne au milieu d'un paysage de montagnes et de forêts, auprès d'une roche tabulaire sur laquelle sont posés un brûle-parfum et un vase de style persan, d'où s'élève une branche de corail. Il porte des deux mains un stūpa décoré sur ses moulurations de deux lignes d'écriture tibétaine. Il est vêtu d'un ample manteau rouge, bordé d'or drapant l’épaule gauche et garni de l’anneau qui sert à retenir le parement ou le pan inférieur. Ce manteau laisse voir une robe bleue au tissu décoré de rosaces d'or, dont les manches sont doublées en vert, et un vêtement de dessous blanc, qui découvre en partie le torse. Le saint est chaussé de bottes chinoises à semelles de feutre. Un bhikṣu, disciple ou serviteur, placé derrière lui, semble vouloir attirer son attention en touchant son bras. Dans l'allée, aux pieds de l’arhat, un cervidé est couché, à côté d'une inscription en lettres dorées, donnant le nom de l'arhat, visible sur le sol du chemin. A gauche un cours d'eau s’enfonce dans la vallée encaissée entre des montagnes abruptes ; à droite, un homme, portant le turban blanc des musulmans du Turkestan chinois, tient une aiguière, les yeux fixés sur le spectateur » (descriptif catalogue rédigé par Claude Pascalis, 1935) .
Bordures en soie.
Inscription tibétaine en lettre dorée sur le stūpa tenu par l’arhat. Inscription en lettre dorée, quasiment effacée, sur le chemin à proximité du cervidé, nommant l’arhat.
Cartel cousu dans la partie inférieure, avec numéro d’inventaire et titre.

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