Ce texte canonique concerne la douzième scène du .
Douzième section du Vessantara-jātaka (Khuddaka-nikāya) : Jali conduit finalement l'armée chez ses parents, et les six membres de la famille sont réunis. Au comble de leur joie, ils s'évanouissent. La pluie rouge tombe du ciel pour faire revivre la famille. Cette pluie mouille ceux qui veulent être trempés, mais ne trempe pas ceux qui veulent rester au sec.
Dixième section du Vessantara Jātaka : craignant que Vessantara n'abandonne également sa femme, Sakka intervient et, déguisé, demande sa femme Maddī, que Vessantara lui donne volontiers. Ensuite, Inda rend Maddī à Vessantara en signe de confiance, car tous ses actes de bienveillance et de générosité sont parfaits.
Correspond au Dakkhiṇāvibhaṅga-sutta du Majjhimanikāya (Suttantapiṭaka). Selon lui, lorsque sa tante Mahāpajāpatī souhaite lui offrir une robe pour son usage personnel, le Buddha l'encourage à la proposer à l'ensemble du Saṅgha. Il poursuit en expliquant que le meilleur type d'offrande au Saṅgha est celui offert à la communauté des moines et des nonnes dirigée par le Buddha.
Texte copié par P̣hikk̄hu nāwanas̄ut (ภิกขุนาวาสุต).
Extrait de L'Abhidhamma. Les abhidhammikas ont déterminé quatre types de réalités ultimes (paramattha), éléments (dhamma) ayant une nature propre ou intrinsèque: la conscience (citta), les facteurs mentaux (cetasika), la matière (rūpa), 4. le Nibbāna.
Ce texte relate les perfections (pāramī) pouvant être pratiquées à divers degrés d'accomplissement : pāramī « basiques », intermédiaires (upapāramī), et ultimes (paramattha-pāramī). Soit trente pāramis qui qualifient trois types de Bodhisattas progressant à des allures différentes.
Correspond au 'phūk' 5. Le texte est un extrait du Paññāsa-jātaka. L'histoire ressemble à celle du Rāmāyana, à la différence que Sītā est la soeur du héros, et non pas sa femme.