Sutta apocryphe (Nibbānasutta, Mahānagaranibbānasutta, Mahānagaranibbānasutta-vaṇṇanā) en provenance d'Asie du Sud-Est.
Une variante du titre apparait dans le manuscrit : និព្ពានសូត្តវណ្ណនា (Nibbānasuttavaṇṇanā).
Copie datée de 2458. Au centre de la première ôle est gravée la date 'Buddhaparinibbānato aṭṭhapaññāsādhike catusatadvesahassame byagghasaṃvacchare siṭesena likkhāmi tam idaṃ'
Copie datée de 2458. Au centre de la première ôle est gravée la date 'Buddhaparinibbānato aṭṭhapaññāsādhike catusatadvesahassame byagghasaṃvacchare siṭesena likkhāmi tam idaṃ'
Correspond à la version étendue du Mahāvaṃsa, dite 'cambodgienne', composée par Moggallāna en Birmanie ou en Thaïlande.
Cette version étend le Mahāvaṃsa par l'ajout d'épisodes et matériaux historiques empruntés à d'autres œuvres (Vinaya Mahāvagga, Jātaka, Buddhavaṃsa, Thūpavaṃsa…).
Elle développe l'histoire du bouddhisme en lien avec les successions dynastiques à Ceylan, couvrant la période du 6e siècle avant notre ère jusqu'au 4e siècle de notre ère (du roi Vijaya à Mahasena).
Recueil d'histoires édifiantes (Rasavāhinī, Madhurasavāhinī, Madhurasavāhinīlaṅkādīpa) qui concernent certains aspects de l'éthique laïque. Ces histoires sont conclues par une morale, exaltant notamment le don (dāna) comme qualité.
Commentaire du Vessantarajātaka (Vessantaradīpanī, Vessantarajātakadīpanī, Mahāvessantaradīpanī) composé en 1517 à Chiang Mai (nord de la Thaïlande) par Sirimaṅgala.
Les liasses portent les titres des différentes sections du texte (ici corrigés) :
Commentaire du Milindapañha (Madhuratthapakāsinī, Milindapañhaṭīkā) composé en 1474 à Chiang Mai (nord de la Thaïlande) par Mahātipiṭaka Cūḷābhayatthera.
Une variante du titre apparait dans le manuscrit : មិលិន្ទបករណដិកា (Milindapakaraṇaṭikā).
Maṅgalatthadīpanī (Maṅgaladīpanī, Maṅgaladīpanī maṅgalasutta-aṭṭhakathā), commentaire élargi du Maṅgalasutta composé à Chiang Mai (nord de la Thaïlande) en 1524 par Sirimaṅgala.